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In response to
"done! the link is above under kilbo"
by
Andie
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Here's my result. It definitely needs formatting and verification that everything is there
Posted by
Guigue (aka Guigue)
Sep 16 '16, 12:01
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Also I had to write the main title myself, it's missing the smaller titles inside the text, as well as the caption under the image. I see that hyphens at the end of sentences are missing, but those should be easy corrections. There's also a couple symbols that didn't work
Soprema a annoncé hier l'acquisition de trois sociétés et la construction de trois nouvelles usines, qui porteront à 50 le nombre d'unités de production du groupe familial alsacien dans le monde. Son président Pierre-Etienne Blindschedler prépare déjà d'autres opérations de croissance externe
Jusqu'à présent, sa stratégie a plutôt bien réussi. Pas question donc pour Pierre-Etienne Bindschedler d'en changer. Le président de So-prema l'a confirmé hier, lors d'une conférence de presse : l'en-treprise familiale. devenue « l'un des premiers acteurs mondiaux dans les domaines de l'étanchéi-té, de l'isolation et de la protec-tion des bâtiments u va conti-nuer à diversifier son offre et à étendre son périmètre géographi-que. Cette politique active de dévelop-pement, nourrie au fil des an-nées par de nombreuses acquisi-tions en France et à l'étranger, s'est déjà traduite cette année par près de 130 millions d'euros d'investissements. dont 65 con-sacrés à des opérations de crois-sance externe. Le groupe basé à Strasbourg, qui exploite 44 sites de production en Europe, en Amérique du nord. au Proche-Orient et en Australie. a en effet finalisé avant l'été le rachat de trois nouvelles socié-tés : l'américaine Chemllnk (90 salariés. 44 millions de dollars de chiffre d'affaires) spécialisée dans les colles, les mastics et les solvants, l'Italienne Novaglass (30 millions d'euros de volume d'activité) qui produit des mem-
branes étanches en bitume et en polymère et enfin le Suisse Pana-tex (220 salariés à Cham et à Golbey, 85 millions d'euros de volume d'activité), qui fabrique des isolants en fibres de bois. « Nous cherchions depuis très longtemps à faire des panneaux d'isolation complètement écolo-gigues peur les toitures et les façades », a expliqué M. Ilinds-chedler. À ces nouvelles filiales, qui cons-titueront autant de relais de croissance pour le groupe, s'ajou-teront trois nouvelles implanta-tions. Soprema a en effet entamé en 2016 la construction, pour 15 millions d'euros, d'une usine d'isolants en polystyrène extrudé à Savigny-sur-Clairis (Yonne). Il investit aussi 33 millions d'euros à Hot en Allemagne, le prix d'une nouvelle unité de production d'isolants à haute performance. Enfin. Il prend pied en Chine. l'un des rares marchés où il n'était pas encore physiquement présent. « Nous y avons une acti-vité commerciale depuis 15 ans. Nous y réalisons environ 10 mil-lions de dollars de chiffre d'affai-res annuel. Mais nous nous adressions à une niche ». a expli-qué Pierre-Etienne Bindschedler. L'usine de membranes d'étan-chéité que Soprema est en train d'y construire pour 15 millions de dollars lui permettra « d'en-trer dans le vif du marché. Nous avons bon espoir d'y perfor-mer », a indiqué le dirigeant. Désormais, son regard se porte vers l'Amérique latine, « le seul marché où Soprema n'est pas en-core présent. « Nous essayons d'y faire une acquisition. Nous avons quelques cibles », annonce le di-rigeant Ces récents développements se traduiront naturellement par une augmentation du chiffre d'affaires du groupe et ce, mal-gré les difficultés que connait le marché français (de la construc-tion) qui représente encore 45% de notre activité », a précisé M. Bindschedler. Soprema, a-t-il précisé, devrait réaliser cette année au moins 2.350 milliards d'euros de chiffre d'affaires et atteindre vraisem-blablement 2,5 milliards en 2017. L'an passé. son volume d'activité s'est élevé à 2.13 milliards d'euros pour un résultat net de 123 millions et un endettement net d'à peine 13 millions d'euros, « On n'est jamais à l'abri d'un retournement de conjoncture », a expliqué le président qui veut aussi « se garder la possibilité de faire une acquisition majeure. qui compléterait notre gamme dans l'isolation thermique et l'étanchéité, et qui transforme-rait complètement Soprema ». En attendant, le groupe qui a lait cette année ses premiers pas sur le marché des grandes surfaces de bricolage, cons roue à créer des emplois. L'an dernier, il revendi-quait 6 260 collaborateurs dans le monde, dont 2 000 en France. Fin 2016, il en comptera au total « 7 100 à 7 200 ». ODILE WEISS
• 11 y a dix ans. 100 % de nos produits étaient réalisés à partir du pétrole •. Aujourd'hui.. nous avons remplacé 50 % des matié res premieres issues du pétrole par des matières premiéres biosourcees a souligne hier Pierre- Etienne Bindschedler. Ce resultat est le produit d'un ambi-tieux programme de recherche merle par les services de l2 b D de Soprema. en collaboration avec l'Université de Strasbourg. la Région et des partenaires industriels. Le groupe a mis au point. par exemple, un bitume vert produit a partir de resine de pin. des bioplastiques issus d'huile de colza ou encore des polyols à partir de tanins du bois et de bouteilles de plastique recycles. • Ces produits sont souvent plus performants que ceux issus du pétrole mais ils sont jusqu'a quatre fois plus chers •. a précisé le président du groupe. L'enjeu aujourd'hui pour Soprema est • d'essayer de les rendre plus competitifs • en industrialisant la filière. Globalement. a-t-il rappelé. Soprema realise • 15% de son chiffre d'affaires gràce a des produits nouveaux •.
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